Les robots anthropomorphiques
Lorsqu’on parle de robots, il ne faut pas oublier de mentionner les robots anthropomorphiques (robots ressemblant à l’être humain) qui sont probablement la principale motivation des roboticiens. Ces robots sont dotés de la bipédie et sont capables de faire des choses que seul l’humain était capable de faire à ce jour. Les robots anthropomorphiques sont des robots créer pour ressembler a l’être Humain, réaliser des tâches que seul l’être Humain sais réaliser, et à obéir à des ordre. Une des plus grandes innovations technologiques dans le domaine de la robotique est sans doute de robot humanoïde Asimo créé par Honda. Ce robot est capable de modifier sa trajectoire en marchant, de monter et descendre des escaliers, de reconnaître des visages et de comprendre la parole humaine. La plus récente version de Asimo peut courir à 6 km/h et peut aussi remplir la tâche de réceptionniste ou de guide d’information. Asimo est un robot de recherche et il devrait, rendu à terme, être capable de venir en aide à personnes handicapées, âgées ou malades.
Elle semble tout droit sortie des mangas, mesure 1m 58, pèse 43 kilos, marche sans fil à la patte et peut mimer un certain nombre d’expressions faciales. Ce robot réalisé par le National Institute of Advanced Industrial Science and Technology a accueilli les journalistes, le 16 mars dernier par un «Bonjour tout le monde, je suis l’humain cybernétique HRP–4C».
Encore un brin gauche, un rien figée parfois, mais on voit bien la direction que prennent les « humanoïdes » depuis la révolution Asimo de Honda.
Dotée de près de 30 moteurs, elle peut marcher bouger les bras et répondre à quelques questions simples. Son créateur, Shuji Kajita, a indiqué qu’il ne voulait pas la « faire ressembler complètement à une femme ».
Un moyen sans doute de ne pas effrayer trop les humains et éviter le syndrome « uncanny valley« , à savoir l’hypothèse selon laquelle, lorsque les robots seront trop ressemblants, ils entraineront un malaise si grave qu’il pourrait aboutir à un rejet pur et simple.
Dotée de près de 30 moteurs, elle peut marcher bouger les bras et répondre à quelques questions simples. Son créateur, Shuji Kajita, a indiqué qu’il ne voulait pas la « faire ressembler complètement à une femme ».
Un moyen sans doute de ne pas effrayer trop les humains et éviter le syndrome « uncanny valley« , à savoir l’hypothèse selon laquelle, lorsque les robots seront trop ressemblants, ils entraineront un malaise si grave qu’il pourrait aboutir à un rejet pur et simple.